Répondre à l’insécurité dans le Liptako-Gourma

Ce rapport examine les stratégies mises en place par les Etats du Sahel pour faire face à l’insécurité dans le Liptako-Gourma.

De nombreuses initiatives ont été lancées au cours des dernières années pour faire face à l’instabilité croissante dans la région du Liptako-Gourma. Ce rapport analyse certaines mesures adoptées par les États pour stabiliser cette région. Il se fonde sur des entretiens réalisés au Burkina, au Mali et au Niger auprès d’acteurs chargés d’élaborer ou de mettre en œuvre ces réponses et d’interlocuteurs issus des zones affectées par l’insécurité.

À propos de l’auteur

Ibrahim Maïga est spécialiste des questions de sécurité et de gouvernance. Il a travaillé comme chercheur puis comme représentant Sahel de l’Institut d’études de sécurité. Il est l’auteur de nombreuses publications sur la situation au Mali et dans le Sahel.


Crédit photo : Amelia Broodryk/ISS

Partenaires de développement
Ce projet de recherche a été mené avec l’appui financier de la Division sécurité humaine du Département fédéral des Affaires étrangères de la Suisse, du Fonds pour les conflits, la stabilité et la sécurité du Royaume Uni, et du Ministère des Affaires étrangères du Royaume des Pays-Bas. Il a également bénéficié du soutien du projet ENACT « Renforcer la lutte contre la criminalité transnationale organisée en Afrique » financé par l’Union européenne et mis en œuvre par l’ISS et INTERPOL, en association avec la Global Initiative against Transnational Organized Crime.

Il a également bénéficié de l’appui institutionnel du Secrétariat exécutif de l’Autorité pour le développement intégré des États du Liptako-Gourma et de la Haute Autorité à la consolidation de la paix du Niger. L’ISS exprime sa reconnaissance aux ministères de la Justice, ainsi qu’aux responsables de l’administration pénitentiaire du Burkina, du Mali et du Niger pour le soutien apporté à la conduite des entretiens en milieu carcéral. Pour leur soutien, l’ISS exprime sa reconnaissance aux membres suivants du Forum de Partenariat de l’ISS : la Fondation Hanns Seidel, l’Union européenne, Open Society Foundations et les gouvernements du Canada, du Danemark, des États-Unis, de l’Irlande, de la Norvège, des Pays-Bas et de la Suède.
Contenu lié